
Le noeud du problème
Le noeud du problème
Tous pivotent voltent valsent virevoltent. Bloombella KIttylynch Florryzoé femmesjujubes…Agrippéserrés vite plus vite en un galop clinquantpiquandboucan ils filentafilentréfilent avec lourdeur.
Stephen et Zoé tournoient hardiment selon un rythme plus lâche. Les heures crépusculaires s’avancent depuis les longues ombresdeterre, dispersées, traînant, oeilanguide, leurs joues délicates de cipria et d’une légère pruine artificielle. Arabesquant avec lassitude elles tissent un dessin sur le sol nouant, dénouant, s’inclinant, pirouettant, tournoyant simplement… S’entrelaçant, reculant, mains alternantes, les heures nocturnes relient chaque à chacune bras cambrés en une mosaïque de mouvements . Stephen et Florry tournent lourdement.
Des rubans de couleurs différentes passées dans les trou-trou, rose pâle, bleu ciel, mauve, vert pomme. Elle avait mis la bleue, ça porte bonheur, espérant contre tout espoir, le bleu étant sa couleur préférée et aussi la couleur de la chance pour une mariée qui doit avoir quelque chose de bleu sur elle.
Bloom déroulait lentement l’élastique de son paquet . Bloom l’enchevêtrait entre ses quatre doigts en diapason, le tendait, le détendait et le roulait en son double trouble, en quadruple, en octave et les ligota bien serré.