
Stephen et Zoé tournoient hardiment selon un rythme plus lâche. Les heures crépusculaires s’avancent depuis les longues ombresdeterre, dispersées, traînant, oeilanguide, leurs joues délicates de cipria et d’une légère pruine artificielle. Arabesquant avec lassitude elles tissent un dessin sur le sol nouant, dénouant, s’inclinant, pirouettant, tournoyant simplement… S’entrelaçant, reculant, mains alternantes, les heures nocturnes relient chaque à chacune bras cambrés en une mosaïque de mouvements . Stephen et Florry tournent lourdement.