Catégorie : Musique, chant, tempo /

CODA * LA GRANDE FARANDOLE * Tournoyer

Stephen et Zoé tournoient hardiment selon un rythme plus lâche. Les heures crépusculaires s’avancent depuis les longues ombresdeterre, dispersées, traînant, oeilanguide, leurs joues délicates de cipria et d’une légère pruine artificielle. Arabesquant avec lassitude elles tissent un dessin sur le sol nouant, dénouant, s’inclinant, pirouettant, tournoyant simplement… S’entrelaçant, reculant, mains alternantes, les heures nocturnes relient chaque à chacune bras cambrés en une mosaïque de mouvements . Stephen et Florry tournent lourdement.

CODA * LA GRANDE FARANDOLE * S’enlacer

Stephen jette sa frênecanne sur la table et saisit Zoé par la taille . Florry et Bella poussent la table vers la cheminée. Stephen enlaçant Zoé avec une grâce exagérée commence à la faire valser dans la pièce… La manche de Zoé retombant de ses bras gracieusement levés révèle la fleur de chair blanche d’une vaccination… Stephen et Zoé tournoient sas entraves. Les lumières changent, luisent, s’éteignent rosées dorées violettes.

LA VIE DES CHOSES * les heures

Les heures matinales accourent depuis un coin de la pièce sandalégères, en bleu layette, tailledeguêpe avec des mains innocentes. Lestement elles dansent faisant tourner leurs cordes à sauter. Les heures méridiennes les suivent en or ambré. Riant, se tenant par la main, grands peignes étincelants, elles captent le soleil dans des miroirs moqueurs, levant les bras.

Les heures nocturnes l’une après l’autre se glissent à la dernière place. Les heures matinales, méridiennes et crépusculaires battent en retraite devant elles. Elles sont masquées, la chevelure daguée et portent des bracelets de grelots assourdis. Lasses elles chassé-croisent sous leurs voiles.

S’entrelaçant, reculant, mains alternantes, les heures nocturnes relient chaque à chacune bras cambrés en une mosaïque de mouvements.

AVENEMENT DE L’INDISTINCT * REFLETS ET MIROIRS * Tom et Sam Bohee

Tom et Sam Bohee, négros peints en complets de toile blanc, chaussettes écarlates, col hautamidonnée de Bamboula et grands asters écarlates à la boutonnière, arrivent d’un bond. Chacun a son banjo autour du cou. Leurs mains négroïdes plus petites, plus pâles font sonner les cordes bingbang. Yeux et crocs de cafre d’un blanc étincelant ils trémoussent un cakewalk en gros sabots, drelinant, chantant, dos à dos pointe talon, talon pointe avec claquemaclaquemolle de nègrelippes.

LES BEGAIEMENTS DU TEMPS – AIMONS, TROMPONS ET SOYONS BELLES CAR DEMAIN NOUS MOURRONS.

Parce qu’il y avait un petit canari riri qui sortait de sa petite maison pour donner l’heure lequel Gerty Mac Dowell l’avait remarqué la fois qu’elle se trouvait là parce qu’elle était rapide comme l’éclair pour ce genre,de chose, Gerty Mac Dowell et qu’elle avait remarqué tout de suite que ce monsieur à part qui était assis sur les rochers à regarder était

coucou, coucou, coucou