Catégorie : Molly Bloom /

LES BEGAIEMENTS DU TEMPS – AIMONS, TROMPONS ET SOYONS BELLES CAR DEMAIN NOUS MOURRONS.

Parce qu’il y avait un petit canari riri qui sortait de sa petite maison pour donner l’heure lequel Gerty Mac Dowell l’avait remarqué la fois qu’elle se trouvait là parce qu’elle était rapide comme l’éclair pour ce genre,de chose, Gerty Mac Dowell et qu’elle avait remarqué tout de suite que ce monsieur à part qui était assis sur les rochers à regarder était

coucou, coucou, coucou

LES BEGAIEMENTS DU TEMPS – A TRAVERS MOLLY, UNE ODE A NORA – tout est mêlé

Ô ma douce ton tout petit toiblanche à l’air je l’ai vue sale branlebourgeois m’a fait l’amour collant nous deux vilains Grace darling elle lui à la demie passée au lit mets ton p’tit chose falbalas pour Raoul pour parfumer les volutes noires de la chevelure de votre femme sous opulentes senorita jeunes yeux Mulvey nichons rebondis moi van du boulanger Winckle mules rouges elle sommeil rouillé errer années rêves reviennent en fin de queue Agendath ma petite pomme d’amour m’a montré son l’an prochain à dans ses culottes retour prochain dans son prochain son prochain.

LES BEGAIEMENTS DU TEMPS – A TRAVERS MOLLY, UNE ODE A NORA – tout est pareil … ou pas …

NORA EN MOLLY

Elle m’embrassait. Ma jeunesse, c’est bien fini. On ne l’a qu’une fois.Elle aussi. Prendre le train là demain. Non. Revenir, c’est pas la même chose… Rien de neuf sous le soleil. Retour des saisons. L’histoire se répète. O rocs et pics me voici parmi vous une fois encore.Vie, amour, voyage autour de votre petit monde à vous. Et maintenant.

LES BEGAIEMENTS DU TEMPS – A TRAVERS MOLLY, UNE ODE A NORA – tout est passé

DE GERTY A MOLLY, DE MOLLY A MILLY, DE MOLLY A NORA

Ah tout ce que cette vielle colline a vu. Il n’y a que les noms qui changent.

Milly, foulard bleu au vent, elle riait… Exactement les mêmes dents elle a. Qu’est-ce qu’elles aiment ? Un autre elle-même?

La petite menotte qu’elle avait : à présent une main de femme.

Tout a changé. Est oublié. Les jeunes sont vieux. Son fusil est rouillé par la rosée.

A TRAVERS GERTY : VISIONS DE MOLLY – l'amour de Molly , un souvenir

Calme complet sur Howth à présent . Et les collines au loin semblent. C’est là où nous. Les rhododendrons. Suis peut-être le dindon de la farce. Il a les prunes, moi les noyaux. Elle m’embrassait. Ma jeunesse.

C’est en regardant la mer qu’elle m’a dit oui. Un soir comme celui-ci mais plus clair, sans nuages… Pourquoi moi ? Tu étais tellement à part des autres.

A TRAVERS GERTY – VISIONS DE MOLLY – une vraie femme

C’est là où Molly les enfonce toutes. C’est qu’elle a du sang méridional. Maure. Même ses formes, sa silhouette. Mains cherchant à tâtons les opulentes. Suffit de comparer par exemple avec les autres. Femme cloîtrée à la maison, squelette dans le placard . Permettez-moi de vous présenter ma. Et ils vous sortent quelque chose d’indescriptible, vous ne sauriez comment appeler ça. On perçoit aussitôt le point faible d’un type en voyant sa femme.