
Restaient les circonstances génériques imposées par la loi naturelle en tant que distincte de la loi humaine, comme parties intégrantes de la totalité humaine, la nécessité de détruire afin de se procurer une sustentation alimentaire, le caractère douloureux des fonctions ultimes de l’existence séparée, les agonies de la naissance et de la mort, la menstruation monotone des femelles simiennes et (particulièrement) humaines s’étendant de l’âge de la puberté à la ménopause, les accidents inévitables en mer, dans les mines et dans les usines, certaines maladies très douloureuses et les opérations chirurgicales qu’elles occasionnent, l’imbécilité innée et la criminalité congénitale, les épidémies dévastatrices, les catastrophes cataclysmiques qui font de la terreur le fondement de l’esprit humain, les soulèvements sismiques dont les épicentres sont situés ans des régions à population dense, le fait de la croissance vitale à travers les convulsions de la métamorphose, de la petite enfance à la décrépitude en passant par la maturité.