
la diététique / les jeux de société
la diététique / les jeux de société
La nécessité de l’ordre, une place pour chaque chose et chaque chose à sa place
Les espagnols, par exemple, des tempéraments de feu, chauds comme la braise de l’enfer sont prompts à se faire justice eux-mêmes et à vous filer votre quitus tranquille avec un de ces poignards qui ne les quittent jamais. TOUS SONT LAVES DANS LE SANG DU SOLEIL.
Les Espagnols, par exemple, des tempéraments de feu de ce genre, chauds comme la braise de l’enfer, sont prompts à le faire eux-mêmes et à vous filer votre quitus tranquille vite fait avec un de ces poignards qui ne les quittent pas, dans l’abdomen. Ca vient de la très grande chaleur, le climat, généralement parlant.
La touche du poignard dans le dos était tout à fait dans le style des Ritals, quoique en vérité il n’en eût que plus de latitude pour reconnaître que ces vendeurs de glaces ou de fritures genre poissons, sans oublier la variété frites et tutti quanti, là-bas du côté de little Italy, étaient des types frugaux économes travailleurs sauf peut-être à s’adonner un peu trop volontiers à la chasse alimentaire de ses inoffensifs autant qu’utiles membres de la gent féline appartenant à d’autres en nocturne de façon à se procurer de la très bonne bouffe agrémentée de l’ail de rigueur sans distinction du sexe de la bête pour le lendemain en douce et à l’oeil.
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un groupe de sauvages, des femmes en pagnes rayés, accroupies, clignant des yeux, allaitant , fronçant les sourcils, endormies au milieu d’un grouilement d’enfants devant des huttes primitives en osier.
Mastiquent de la coca à longueur de journée, ajouta le décidément très en verve loup de mer. Des estomacs comme des râpes à fromage. Se coupent les nichons quand elles peuvent plus avoir d’enfants.
Tom et Sam Bohee, négros peints en complets de toile blanc, chaussettes écarlates, col hautamidonnée de Bamboula et grands asters écarlates à la boutonnière, arrivent d’un bond. Chacun a son banjo autour du cou. Leurs mains négroïdes plus petites, plus pâles font sonner les cordes bingbang. Yeux et crocs de cafre d’un blanc étincelant ils trémoussent un cakewalk en gros sabots, drelinant, chantant, dos à dos pointe talon, talon pointe avec claquemaclaquemolle de nègrelippes.
… ses yeux pleins de tendresse contemplent son enfant….leurs enfants son imagination les voit groupés autour de son lit, les siens à elle, les siens à lui, Charles, Marie-Alice, Frédéric-Albert ( s’il avait vécu), Manou, Baba ( Victoria-Françoise ), Tom, Violette-Constance-Louise), le petit Bobsy chéri… Ce jeune espoir serait baptisé Mortimer-Edouard ( comme le cousin au troisième degré de M. Purefoy, un homme influent qui est dans les bureaux de la Trésorerie, au Gouvernement)
Les croyances populaires sur la grossesse, telles que l’interdiction à une femme enceinte d’escalader un échalier de peur que ses mouvements ne causent la strangulation du foetus par le cordon ombilical et cette recommandation dans le cas d’une envie nourrie avec ardeur et non satisfaite d’appliquer la main sur cette partie de sa personne qu’un usage immémorial a consacré comme siège des châtiments corporels.
A rester vierges elles finissent par verser dans la folie, je suppose … Proche de ses règles j’imagine, ça leur met les sens à vif … Mais pourquoi toutes les femmes n’ont-elles pas leurs règles en même temps à la même lune je veux dire ? Tout dépend de leur date de naissance je suppose. Ou bien toutes parlent en même temps puis chacune va à son rythme. Quelquefois Milly et Molly en même temps. Terrorisée quand ses règles luis sont venues pour la première fois. Pauvre môme! Moment étrange pour la mère aussi.