
Acceptait-il alors en tant qu’article de foi la théorie des influences astrologiques sur les désastres sublunaires ?
Il lui semblait tout aussi possible de la prouver ou de la réfuter et la nomenclature utilisée dans ses cartes sélénographiques était attribuable tout autant à une intuition vérifiable qu’à une fallacieuse analogie : le lac des rêves, la mer des pluies, le golfe des rosées, l’océan de la fécondité.