
Conscient que l’organisme humain capable normalement de supporter une pression atmosphérique de 19 tonnes, lorsqu’il était élevé à une altitude considérable dans l’atmosphère terrestre souffrait avec une intensité en progression arithmétique alors qu’il s’approchait de la ligne de démarcation entre la troposphère et la stratosphère, d’hémorragie nasale, de gêne respiratoire et de vertige…