
il flotte, il coule autour de sa chair stellaire et ondoie et ruisselle d’émeraude, de saphir, de mauve et d’héliotrope, suspendu dans les courants glacés du vent interstellaire sinuant, se lovant, tournant nos têtes, tordant le ciel de mystérieux caractères…
l’air sacré, l’air du père universel, l’air scintillant circumambiant, cessile. Aspire le en tes profondeurs.