
Une inquiétude la ronge et ne la lâche pas. Toute son agitation intérieure se livre là dans ses yeux, et elle donnerait tout au monde pour se retrouver dans l’intimité de sa chambre où, donnant libre cours à ses larmes, elle pouvait pleure tout son soûl et ouvrir la bonde à ses sentiments refoulés. Point trop cependant parce qu’elle savait sangloter dans un miroir .